L'immobilier à Castres

Castres : Une ville au cœur du Tarn

Idéalement située entre Albi, Toulouse et Carcassonne, Castres est au cœur d'un bassin de vie qui compte près de 150 000 habitants. Cette ville chargée d'histoire est en pleine transition, offrant un cadre de vie agréable à ceux qui souhaitent s'y installer.

Économie et enseignement

Castres est le cœur économique d'un bassin d'emploi de plus de 133 000 habitants et de 87 communes. La communauté d'agglomération de Castres-Mazamet comprend 78 244 habitants et 14 communes, dont deux villes-centre de plus de 10 000 habitants : Castres (41 483 habitants) et Mazamet (10 063 habitants). En termes d'enseignement, les lycées et collèges sont de bonne qualité, à l'exception peut-être du lycée Jean Monnet.

Culture, histoire et divertissement

Castres, terre de rugby en Languedoc, mêle bien vivre et art hispanique avec son célèbre Musée Goya. La ville offre de nombreuses activités de loisirs : le parc de Gourjade, l'Archipel, une patinoire flambant neuve et un golf. Cependant, certains habitants regrettent un manque d'animation culturelle. Côté histoire, Castres était autrefois une ville animée avec des rues commerçantes comme la rue Villegoudou, la rue Fuzies et la rue Alquier Bouffard, mais aujourd'hui marquées par des vitrines fermées malgré les efforts de rénovation du centre-ville.

Santé et météo

Castres dispose d'infrastructures de santé satisfaisantes. La ville bénéficie d'un climat agréable, pas très loin de la mer et de la montagne, avec une nature environnante de qualité.

Où habiter à Castres ?

Malgré des prix immobiliers accessibles, le nombre de logements vacants a augmenté entre 2010 et 2015, témoignant d'une diminution de la population et d'une inadaptation partielle de l'offre à la demande. 54% des logements vacants de l'agglomération sont situés à Castres. Les nouveaux arrivants privilégient souvent des logements neufs en périphérie avec jardin, plutôt que d'anciens logements sociaux dans les quartiers politique de la ville. Certains quartiers sont devenus des zones de non-droit avec une recrudescence de l'insécurité, où même la police n'ose plus se rendre.